"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1955, Eric Rohmer, qui n'est encore que critique, publie une étude retentissante dans les Cahiers du cinéma : " Le celluloïd et le marbre ", enquête sur les arts observés du point de vue du dernier-né d'entre eux, le cinéma.
En octobre 2009, alors que son oeuvre, devenue l'une des plus importantes de son époque, est achevée, il donne un entretien-fleuve à Noël Herpe et Philippe Fauvel. C'est l'occasion pour lui de reprendre sa réflexion sur la littérature, la peinture, la musique, l'architecture, confrontées cette fois à son expérience de cinéaste - mais aussi de livrer quelque chose de son intimité intellectuelle et sensible.
Ce volume réunit les deux temps. Il met en vis-à-vis le texte de jeunesse et la parole du vieil homme jetant un dernier regard sur ce qui fut le coeur de sa vie : ce qu'il a nommé, naguère, le goût de la beauté.
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