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Il est des livres qui changent le monde. La première publication du Capital de Karl Marx, en 1867, à Hambourg, n'a rencontré aucun succès immédiat, mais a eu, quelques années plus tard, un retentissement croissant dans la Russie des Tsars, allant jusqu'à son renversement quelques décennies après. L'idée phare de ce livre qui véhicule une pensée simple mais ardue, est que le capitalisme est un système instable, aliénant les êtres humains, générant des conflits entre nations, provoquant troubles et misères sur la base de «l'expropriation de la force de travail des travailleurs» par les bourgeois, via le principe du salariat. Ce livre, qu'on l'aime ou qu'on le déteste, a profondément bouleversé l'ordre établi, et on en voit encore les conséquences aujourd'hui, en Russie mais aussi en Chine ou en Corée du Nord.
Memoria Books présente une version illustrée du Capital, en deux tomes, offrant une double grille de lecture. Le texte original de Marx, d'une part, et parallèlement, 89 illustrations (dont 45 dans le tome 1), qui représentent, au fil de la lecture, les conséquences à travers le temps de ce texte. Les premières illustrations retracent le contexte de l'époque, puis petit à petit, apparaissent les conséquences que ce livre a eu sur le monde...
Toutes les illustrations sont réalisées par Yoann Laurent-Rouault, maître diplômé des Beaux-Arts de Rennes, tandis que la préface du tome 1 est l'oeuvre de Jean-David Haddad, professeur agrégé de Sciences économies et sociales, auteur, éditeur, chroniqueur.
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