Jour après jour, Alex tente de survivre dans le camp d'Auschwitz où il est prisonnier. Survivre au manque de nourriture, au froid, aux humiliations, à l'absence d'espoir. Pourtant, malgré les risques, le jeune homme a décidé de défier ses bourreaux : en secret, il fait la classe aux enfants du Bloc 31.
Poésie, mathématiques, dessin... Ces leçons ne sont qu'un petit geste, mais témoignent du courage et de la résistance d'Alex. C'est aussi sa manière de protéger ses petits élèves de la terrible réalité du camp.
Mais enseigner aux enfants n'est pas la seule activité interdite à laquelle Alex se livre... Il écrit aussi un journal dans lequel il raconte les minuscules moments de joie qui font oublier le cauchemar du quotidien. Un récit pour être plus fort que l'horreur du monde et pour que personne n'oublie rien, jamais.
Merci Eric Poupet et Cityeditions pour ce roman instructif et captivant.
A mi chemin entre récit autobiographique et roman, Otto B Klaus nous fait vivre de l'intérieur la terrible vie du Bloc 31 d Auschwitz-Birkenau.
Pour quelles raisons ce bloc a t il été quelque peu épargné ?
Ce bloc est celui des enfants et des quelques adultes prêts à braver les interdits pour leur procurer un peu de légèreté, d éducation et d humanité.
Comme dans les autres blocs, les conditions de vie sont atroces, inhumaines, la peur est omniprésente, les dénonciations et marchandages sont légion.
Alex, le personnage central tente de véhiculer une once d optimisme à travers ses cours, des concours de musique, poesie et autres représentations théâtrales.
La plume de l'auteur est digne, humaine, agréable à lire. Jy ai vu plein de rapprochements avec le roman La bibliothécaire d Auschwitz-Birkenau d A. Iturbe où j'y ai trouvé davantage d'émotions.
Cette période historique est ma préféré et j'aime lire des romans se déroulant dans ses années là.
Il ne faut surtout pas oublier ces événements et ne jamais les reproduire.
Un autre roman de la meme maison d'édition sur ce sujet est dans ma Pal...
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