Après Reprendre pied, livre revigorant sur le deuil et la perte, Raphaël Laiguillée revient sur cette période qu'on appelle depuis Paul Nizan le plus bel âge de la vie. Un bel âge que le poète célèbre à coups d'exorcismes et d'actions de grâce, de fables cruelles et de fantasmagories. C'est toujours la même manière boxeuse, le même galop des phrases, le même art du dérapage et du coq-à-l'âne, un semblable lyrisme éclaboussé d'humour et baffé par l'auto-dérision. Sauf qu'ici, il s'agit moins de reprendre pied après les gadins d'une vie d'adulte que de s'extirper de la mélasse d'une adolescence qui ne veut pas finir - entre douilletteries littéraires et l'appel de la réalité rugueuse.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
