Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Chez les S.S., il n'y avait pas de condamnation pour les sous-officiers ou les officiers qui avaient commis une faute.
Ils étaient dégradés et mutés dans une unité très spéciale : le "Bataillon 500", plus communément appelé " Le Bataillon des Officiers ". On leur retirait leurs décorations, et chacun, du sergent au colonel, allait servir comme simple soldat. Si la conduite au feu de l'officier puni était exemplaire, il pouvait reconquérir son grade, ses décorations, sa dignité et son honneur. En fait, peu vivaient jusque là, car le "Bataillon 500" représentait un extraordinaire outil de combat, de par les compétences multiples, le courage et l'intelligence de ses recrues.
Donc, le G.Q.G. d'Hitler et Himmler lui-même l'envoyaient partout où la situation était particulièrement difficile. Or, de 1942 à 1945, ce n'étaient pas les " situations difficiles " qui manquaient. Plusieurs fois exsangue, reformé, renforcé, le "Bataillon 500" allait être de tous les coups durs. Au dernier coup de feu, dans la banlieue de Berlin, l'effectif du Bataillon était de douze hommes.
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