Le commissaire Ange-Marie Barthélemy, spécialiste de l'antiterrorisme, est envoyé sur les lieux d'une explosion au coeur de la cité phocéenne. Plusieurs indices laissent à penser que cet attentat non revendiqué est lié au trafic de drogue. Avec son équipe, il s'immerge alors dans le milieu du crime organisé marseillais.
Ils vont rapidement constater que le poseur de bombe n'en est pas à son coup d'essai. Ayant sévi sur tous les continents, il présente le profil d'un tueur en série plutôt que celui d'un terroriste : mode opératoire scrupuleux, signature, monomanie... Un parcours sanglant qui en dit long sur un dangereux psychopathe.
La traque s'organise. Une plongée sans concession dans un esprit tortueux, avide de destruction et d'anéantissement, qui obligera Barthélemy à se confronter à ses propres démons.
"La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas."
Marseille.
Un sac à dos noir.
Un homme serein.
Un itinéraire précis.
Froideur et mépris pour " les gens du peuple".
Vivre dans la marge.
Un très bon roman policier rigoureux et
explosif avec les membres du groupe Barthélémy, spécialistes de l'antiterrorisme.
Un thriller coup de poing qui ne laisse aucuns répit au lecteur. Cécile Sanchez ici n'est que peu présente, occupée à résoudre l'enquête du "Ramoneur" lors de l'opus précédent "Le baptême des ténèbres". C'est donc Ange-Marie Barthélemy que l'on va accompagner le temps d'une enquête périlleuse afin d’arrêter un terroriste recherché a l’internationale, mercenaire poseur de bombe en série semant le chaos, "Il Diavolo". Hâte de lire un autre Gilberti dont la plume est d'un divertissement jubilatoire
Méga fan de Mr Ghislain Gilberti ,je me suis gardé comme un petit trésor sont troisième romans pour les vacances
Eh-bien évidemment , troisième livres pour moi comme d'habitude je me suis régaler. Il est très fort Mr Ghislain Gilberti .
Parce-que l'histoire ma tenu en haleine jusqu'au bout , c'est très très très bien écris , très très très bien structuré . Les personnages au top du top comme toujours .
Tellement que je l'ai aimé j'en voulais encore plus au niveau de l'intrigue et du dénouement final .
Mais pour ma part je pense qu'en faite c'était juste se qu'il fallait .
En clair je recommande d'ajouter cette auteur à votre PAL car c'est romans sont une pépite d'or à lire sans modération .^^^
Si j’ai retrouvé avec plaisir les personnages de Ange-Marie Barthélemy et son amie profileuse Sandra, si j’ai bien accroché la première moitié du roman, je dois avouer que l’auteur m’a perdu avec l’arrivée du nouveau juge qui met en l’air l’enquête première.
La seconde partie m’a donc parue la moins intéressante, d’autant que sont narrés les faits et gestes que l’on a déjà lu 100 pages avant. Le récit tourne un peu en rond.
Tout ceci fini dans une hécatombe finale comme seul l’auteur sait en écrire.
L’idée de départ était intéressante, celle de ce poseur de bombes qui prénomme chacun de ses engins de mort d’un prénom de femme. Mais déplacer l’action aux coeurs des quartiers « sensibles » de la banlieue parisienne m’a paru de trop – j’ai déjà lu ces propos nombres de fois.
Ne vous y méprenez pas, je lirai al suite des aventures de Ange-Marie Barthélemy….
L’image que je retiendrai :
Celle de la Tour Rouge prise d’assaut par toutes les brigades d’intervention que compte notre si beau pays.
https://alexmotamots.wordpress.com/2015/09/13/le-bal-des-ardentes-ghislain-gilberti
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