"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Succédant au printemps et à l'été, l'automne,bruyante et colorée, agite le peuple du chemin creux. En marge de celle des humains sa vie suit le rythme immuable des saisons. Dans ce monde impitoyable, chacun joue sa survie. Certaines espèces, déjà, se préparent au grand voyage ; ces grandes migrations nous révèlent que la mondialisation n'est pas une invention de l'homme. D'autres inlassablement constituent leurs provisions d'hiver. Déjà, la forêt tremble de l'impatience des grands cerfs à assurer leur descendance autant qu'à préserver leur statut de maître incontesté. Tel un râle venu du fond des âges, leur brame rappelle la puissance de la nature, sa beauté éternelle. Affaire de cors à cors d'abord quand il s'agit de repousser un jeune concurrent, affaire de corps à corps enfin pour des accouplements multiples. La période du rut passée, tout s'apaise, la forêt retrouve son silence et ses mystères. Régis Cavignaux nous invite, dans cette troisième balade sur le chemin creux, à admirer les chefs-d'oeuvres vivants qui nous entourent.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !