La poésie est une révolte douce, « préalable au politique » comme disait si bien Jean Genet. Ici, la réponse à la violence est un hymne à l'amour. Révolte aussi, mais toujours sous l'horizon spirituel que nous apporte l'Asie. Une vacuité féconde parcourt les poèmes de Philippe GUILLERME, où les textes courts sont comme l'enfantement miroitant les textes longs. Une parole plus développée à ceux qui en sont privés.
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