Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
«Ma mère ne m'a jamais donné la main...» Tout est dit dès la première phrase du roman. L'asphyxie, c'est une enfance étouffée, le poids d'une faute, une blessure, un mal d'aimer incessant, des larmes, mais aussi une musique de rue, une poupée brisée, un cornet de frites, un parfum d'orange... Parce qu'un enfant n'a pas conscience du temps, L'asphyxie n'a pas de chronologie propre. Ce sont des soubresauts d'émotions, des coups d'oeil de la mère sur sa fille, le regard «dur et bleu», des gifles de mots. Dans son tout premier ouvrage, Violette Leduc dévoile déjà un style incisif, et plante la figure maternelle comme la proue énigmatique de son grand navire.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !