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LE LIVRE Entre la fin du XIVe et le milieu du XVIe siècle, les Pays-Bas s'imposent comme l'une des principales scènes artistiques du monde occidental. Dans cet opus, Jan Blanc recontitue brillamment les conditions et les raisons pour lesquelles l'art des anciens Pays-Bas s'est progressivement imposé sur la scène internationale, en inventant de nouvelles manières, profondément modernes, de penser l'art et son rapport au monde, sans pour autant renoncer aux liens étroits qui l'unissent aux formes inventées à la fin du Moyen-Âge.
De l'avènement de Philippe II le Hardi (1384) à la scission des Pays-Bas en 5181, ce vaste parcours aborde les grands maîtres de la peinture (Jan van Eyck, Petrus Christus, Rogier van der Weyden, Hans Memling, Jan Gossaert, Joachim Patinir, Jan van Scorel, Pieter Bruegel I), mais également l'enluminure, le dessin, la gravure, l'architecture, la sculpture et la tapisserie - autant de domaines où les artistes néerlandais ont excellé durant cette période.
Une somme abondamment illustrée qui complète parfaitement, sur le plan chronologique et thématique, Le Siècle d'or hollandais du même auteur (Citadelles & Mazenod, 2019) ; celui-ci commençant là où s'achève L'Art des anciens Pays-Bas.
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