"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'art à l'état vif a paru pour la première fois chez Minuit en 1991, proposant une nouvelle théorie esthétique pragmatique, où s'affirmait paradoxalement et avec force, aux côtés d'un poème de T S Eliot, des formes de l'art populaire, comme le rap, le graph ou le funk. Le livre fit grand bruit et permit de faire se rencontrer des esthétiques qu'on aurait pu croire étrangères, qui se retrouvaient en fait dans la pratique artistique. Le corps prenait également une place centrale dans ce livre de Shusterman, annonçant ce qui allait devenir le thème de son oeuvre à venir : la somaesthétique, qu'il a développée ensuite dans plusieurs ouvrages dont Conscience du corps (L'éclat, 2007). 25 ans plus tard, le livre reparaît en poche, enrichi d'une nouvelle préface qui fait état du chemin parcouru.
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