80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« J´ai fait ce que font les hommes quand les mots leur manquent » : c´est par cette phrase simple que Willy Brandt expliqua sobrement son agenouillement le 7 décembre 1970 devant le monument aux victimes du ghetto de Varsovie anéanti par la barbarie nazie. Chancelier d´Allemagne fédérale depuis un an, Brandt met soudain les deux genoux en terre. Il demande pardon pour la faute collective de ses compatriotes. Cette faute, pourtant lui, ancien résistant antinazi, ne l´a pas commise...
La force de ce geste improvisé est inouïe, son humilité bouleversante. envoyé spécial chargé de couvrir le voyage de Brandt à Varsovie, l´auteur sait déjà que ce moment restera pour lui inoubliable. Le chancelier devait lui réserver bien d´autres surprises...
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