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« Le formalisme, c'est l'essentiel. » La déclaration de Jan Groover résume à elle seule l'ambition plastique de son oeuvre, qui incarne aujourd'hui l'un des moments phares de l'histoire de la photographie et du genre de la nature morte. Menée au gré d'une expérimentation constante et variée, la recherche de Jan Groover s'est concentrée sur les formes et leur capacité à transformer la perception de l'image.
Au début des années 1970, elle est remarquée par le milieu artistique new-yorkais pour ses polyptyques consacrés aux voitures et à l'environnement urbain. Vers 1978, Jan Groover change radicalement de sujet pour se tourner vers la nature morte, qui constitue l'essentiel de son travail. Réalisées en studio, ses compositions relèvent de techniques variées. Dans les années 1970 et 1980, elles contribuent activement à la reconnaissance institutionnelle et artistique de la photographie en couleurs. Jan Groover développe alors un grand intérêt pour un procédé de la fin du XIXe siècle, le platine-palladium.
Auteurs des textes : Tatyana Franck, Paul Frèches, Émilie Delcambre Hirsch, Bruce Boice, Sarah Hermanson Meister et Pau Maynés Tolosa.
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