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Le héros a quitté son pays pour échapper à l'exécution d'une condamnation à mort prononcée contre lui.
Il est permis de penser qu'il s'agit d'un assassin de l'espèce commune, sans grandeur et sans révolte.
La Ville où il a trouvé refuge est gouvernée de façon telle que les habitants n'y sauraient être assurés de leur propre vie, d'un instant à l'autre, par la floraison de règlements occultes tels, qu'il est impossible à quiconque de savoir s'il ne se trouve pas à tout moment en contravention à eux.
Les habitants de la Ville s'accommodent du reste parfaitement de cet état de choses et n'aspirent pas au changement, car, après tout, nul n'a le loisir de se laisser aller à l'ennui.
L'apparente férocité qu'ils montrent dans leurs jeux et le désintéressement total qu'ils manifestent en leurs travaux inutiles ne doivent pas nous celer qu'ils sont simplement indifférents.
Naturellement, l'auteur aimerait qu'on vît mille choses dans son roman, mais il n'est pas assuré de savoir lesquelles, sauf qu'il ne s'agit point d'une satire.
J. M. A. Paroutaud (1950).
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