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La vie cachée de l'abbé Charles ; les années de formation sacerdotale d'un séminariste de l'entre-deux-guerres

Couverture du livre « La vie cachée de l'abbé Charles ; les années de formation sacerdotale d'un séminariste de l'entre-deux-guerres » de Emmanuel Michel aux éditions Parole Et Silence
Résumé:

Cet ouvrage est issu d'une thèse d'histoire intitulée "Devenir prêtre dans l'entre-deux-guerres. Les années de formation de Mgr Maxime Charles", dirigée par le professeur Philippe Levillain et soutenue en décembre 2011 à l'Ecole doctorale de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris. Cette étude... Voir plus

Cet ouvrage est issu d'une thèse d'histoire intitulée "Devenir prêtre dans l'entre-deux-guerres. Les années de formation de Mgr Maxime Charles", dirigée par le professeur Philippe Levillain et soutenue en décembre 2011 à l'Ecole doctorale de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris. Cette étude sur la formation sacerdotale d'une grande figure du clergé parisien et français de l'après-guerre, Mgr Maxime Charles (1908-1993), entre 1922 - date de son entrée au petit séminaire de Paris, à Conflans, sur la commune de Charenton - et 1935 - date de son ordination après sept années passées au séminaire universitaire des Carmes, à l'Institut catholique de Paris - constitue une contribution à l'histoire du XXe siècle en France sous différents aspects. Elle relève en particulier de l'histoire religieuse mais aussi de l'histoire sociale et culturelle, la dimension politique n'en étant pas, en outre, complètement absente.

Monseigneur Maxime Charles est né à Ribérac (Dordogne) le 26 mai 1908, il est mort à Saint-Raphaël (Var) le 29 août 1993. Il était prêtre du diocèse de Paris et prélat de Sa Sainteté. Mgr Charles fut le fondateur du centre Richelieu, puis recteur de la basilique de Montmartre pendant trente ans. Mgr Charles était selon le cardinal Daniélou « l'homme d'action le plus théologien et le théologien le plus homme d'action », capable aussi bien de mobiliser plus de dix mille étudiants en Sorbonne pour le pèlerinage de Chartres que de puiser dans la Bible et les Pères de l'Église pour renouveler l'adoration eucharistique. D'autre part, il s'appuyait sur une liturgie et une théologie classiques à l'opposé des thèses progressistes de l'époque. Son enseignement a marqué plusieurs générations de catholiques de Paris, de la région parisienne et au-delà.

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