"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Edmund White me semble avec La Symphonie des adieux cette grosse araignée mythologique, Arachné métamorphosée ainsi par la déesse Athéna parce que la pauvre l'emporta sur elle dans un concours de la broderie. D'ailleurs n'avait-il tenté comme Arachné de se suicider, après avoir vu « ses premières broderies » tournées en ridicule par un bon nombre d'éditeurs qui ignoraient leurs portées avant-gardistes de la littérature gay ?
A lire ce dernier volume d'une trilogie (ou l'avant-dernier d'une tétralogie) autobiographique qui lui a valu le panégyrique des grands critiques littéraires, non seulement ce prosateur ”proustien modéré” nous démontre son art du tissage (ou de la broderie) des mots, mais aussi nous fait promener dans ses toiles fines à travers la France, l'Italie et les États-Unis des sixties pour raviver ses voluptés, après avoir versé les larmes sur le columbarium d'un amant français emporté par le sida comme la plupart de ceux qui partageaient son inclination sexuelle.
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