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Maryse Wolinski raconte à la première personne la vie de Misia, inspiratrice de renom, personnage à la fois douloureux et attachant, qui recherche désespérément l'amour sans jamais le trouver.
« La Sibylline », c'est ainsi que Proust surnommait Marie Sophie Godebska, dite Misia, la Reine du Paris artistique et culturel du début du vingtième siècle.
Cette femme au charme slave, pianiste de talent, a le génie de repérer celui des autres. Auprès de son ami Diaghilev, elle assure le triomphe des Ballets russes comme au temps de La Revue Blanche où elle avait contribué à révéler les plus grands talents : Vuillard, Bonnard, Vallotton, Renoir...
« La Sibylline » est aussi une femme en mal d'amour. Après deux mariages soldés par deux abandons, Misia est enfin amoureuse. Son coeur bat pour le peintre espagnol José Maria Sert dont la carrière connaît à ses côtés une ascension prodigieuse.
Maryse Wolinski s'est glissée dans la peau de cette femme au destin exceptionnel. Un roman riche et coloré, portrait d'une héroïne passionnée, exigeante, éprise d'absolu, hantée par la perte et l'abandon.
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