80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«De tous les romans de Ronald Firbank, La Princesse artificielle est un des plus franchement satiriques, avec ses personnages de petite cour royale d'opérette d'Europe centrale ou balkanique (...). Dans Mon piaffeur noir, Firbank exprime en revanche, quoique toujours sur un ton narquois mais aussi avec une grande tendresse, sa nostalgie de l'innocence d'une sorte de Paradis terrestre antillais.» Édouard Roditi.
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