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Pour la plupart des gens, la solitude est synonyme d'une douloureuse sensation d'isolement. Lorsqu'elle est subie, elle est vécue comme un abandon, une exclusion, un rejet. On peut aussi choisir d'être seul, d'aménager pour soi des espaces et des temps où l'on est face à soi-même. Pour le plaisir, d'autres que ceux qu'on partage avec autrui ; pour prendre soin de soi ou bien simplement pour respecter son propre rythme de vie, ses propres besoins individuels. Mais beaucoup d'entre nous ne sont pas préparés à faire usage de cette liberté. Ceux-là paient plus ou moins cher de ne pouvoir assouvir leurs désirs qu'à travers les autres. Il faut alors donner pour recevoir. Les échanges pourraient être équitables mais ils ne le sont pas toujours. Ainsi pour échapper coûte que coûte à la très redoutée solitude, on peut être amené à confondre compromis et compromission. La sagesse populaire suggère qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné. On peut certes par dépit, subir et goûter l'amertume de la négative solitude. À l'inverse, l'auteur vous propose d'explorer activement la positive solitude. Il est question d'un apprivoisement de soi qui nécessite une exposition progressive à certaines de nos peurs, celles-là même qui contribuent à une fuite de soi. Être en paix avec soi-même est une condition majeure pour aller à la rencontre des autres paisiblement. Bonne lecture solitaire !
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