80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
A l'origine, une famille hollandaise qui, pour s'éloigner de la domination anglaise devenue pesante, se fait construire un manoir dans un coin montagneux et reculé, prêt d'Albany, état de New York. Un coin réputé pour la fréquence et la violence de ses orages.
Au présent (l'histoire est écrite en 1921), un amateur de mystère, pas avare d'explication aux phénomènes qui défraient la chronique.
Mais là, l'horreur est véritable : 80 "squatters", occupants pauvres de ces hameaux misérables, ont été comme dévorés, écrasés ou enlevés. Et nulle trace de ce qui a causé le massacre.
C'est ainsi qu'avec deux gardes du corps armés, le narrateur s'en va, une nuit d'orage aussi, veiller dans la pièce principale du vieux manoir, la chambre du premier occupant, le vieux Gerrit Martense, disparu depuis plus d'un siècle et demi...
Et c'est la phrase de Lovecraft qui s'enroule, se déplie, organise ses splendeurs pour accompagner et le tonnerre et la mort.
Sz
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