Tous les conseils littéraires du moment, lus et approuvés par des passionnés !
McCoy est "bourreau" au Texas. Après 42 ans passés dans le couloir de la mort, il reçoit la visite officieuse du Gouverneur Thompson qui doit se prononcer sur la grâce du condamné numéro 0451.
Il ne leur reste que quatre heures pour faire revivre les souvenirs de McCoy avant l'injection létale.
Quatre heures dans l'isolement de la prison de Walls.
Quatre heures pour cinq crimes qui déchaînent les passions.
Quatre heures pour ce qui pourrait être la dernière exécution de McCoy.
Quatre heures pour jouer le sort d'un homme.
Un thriller psychologique aussi troublant que fascinant : une immersion sans concession dans le couloir de la mort et ses procédures d'exécution.
Tous les conseils littéraires du moment, lus et approuvés par des passionnés !
Bonjour, amis lecteurs je vais vous parler de "La peine du bourreau" Estelle Tharreau Auteure aux Taurnada Editions.
Ce livre est une pépite .Une grosse claque , un vrai uppercut , comment ai- je pu mettre autant de temps à le lire
Nous sommes au Texas, pays raciste, avec des protagonistes de la peine de mort et des antis
Ed 0451 à quatre heure pour convaincre le gouvernement Thompson, de délibérer sur son sort, lui qui vient de passé 42 ans, dans ce couloir.
Il faut bien précisé , que l'Amérique reste , un des pays ou la peine de peur est de vigueur.
Le gouverneur est mis sous pression par le directeur pénitencier, pour que ce dernier, décide de sort de Ed
Estelle nous tient en haleine du début à la fin de son intrigue.
Ed a quatre heure pour décider le gouverneur de la peine de mort à un emprisonnement à perpétuité.
Je me suis retrouver dans l'univers de Stephen King, dans son livre la ligne verte.
Le sujet sur la peine de mort, qui est toujours d'actualité.
Un système qui décide avec preuves ou sans preuves de la vie d'un être humain.
Plusieurs exécutions sans preuve tangible , se sont révélées comme des grosses fautes de jugement., une mise à mort d'innocents.
Histoire qui évolue avec le point de vue Ed et du gouverneur.
Nous ressentons à la lecture du roman que l'auteure a fait énormément de recherches, son livre mêle fiction et réalité.
Une écriture fluide, philosophique
Une lecture captivante, et visuelle
Nous sommes dans un huit clos, une atmosphère suffocante, oppressante
L'auteure nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Que décidera le Gouverneur sur la sentence de ED.
J'ai eu l'impression de lire un essai plus qu'un thriller psychologique.
Estelle Tharreau mis la barre haute avec son roman.
Une pépite.
Si je crois avoir pratiquement tous ses livres dans mes bibliothèques, je n’avais finalement lu qu’un seul titre d’Estelle Tharreau avant de découvrir celui-ci dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus en catégorie littérature noire, pour laquelle j’ai la chance de faire partie du jury. Avant d’aborder ce roman plus en détails, j’en profite ici pour remercier les organisateurs de cet excellent Prix pour leur confiance, leur disponibilité et leur efficacité, outre l’indéniable qualité de leur travail !
A travers un récit saisissant de réalisme, l’autrice nous entraîne avec elle dans le couloir de la mort d’un pénitencier texan, et aborde ainsi le système judiciaire américain à travers les yeux d’un bourreau pour une expérience à la fois originale et immersive, troublante et prenante.
Car à l’image de son décor, l’autrice nous propose ici un huis clos particulièrement oppressant aux côtés de trois personnages fort bien croqués et particulièrement intéressants. A l’instar du Gouverneur, dont nous ne voudrions toutefois pas la place, nous recueillons tantôt les confidences de l’exécuteur, tantôt les souvenirs du condamné, et c’est ainsi que l’autrice évoque la justice et ses injustices sans pour autant se permettre d’émettre le moindre jugement.
Pris au piège avec eux entre les opposants et les défenseurs de la peine capitale, il nous reste donc quatre heures et 250 pages pour statuer sur le sort d’un homme, ce qui rend ce court roman, déjà servi par une plume fluide et élégante avec un style direct et efficace, d’autant plus haletant tandis que la tension ne cesse de grimper.
En bref, jolie prouesse que ce thriller psychologique, tout à la fois fort et audacieux, sombre mais non dénué d’humanité.
Lu en novembre 2021
Ma chronique complète : https://deslivresetmoi7.fr/2021/10/chroniques-2021-la-peine-du-bourreau-destelle-tharreau.html
Lien de mon avis sur le blog : https://les-livres-de-nancy.blogspot.com/2021/09/la-peine-du-bourreau-estelle-tharreau.html
J'ai lu ce roman dans le cadre du prix des auteurs inconnus.
Nous vivons les quatre dernières heures de la vie du condamné matricule 0451 qui est dans le couloir de la mort pour le meurtre de cinq personnes. Pendant ces dernières heures, où le prisonnier reçoit la visite officieuse du Gouverneur Thompson qui doit se prononcer sur sa grâce ou pas, nous découvrons ce qui a conduit cet employé du bureau du shérif à devenir un tueur en série...
J'ai beaucoup aimé ma lecture.
C'est un vrai page-turner que j'ai dévoré en seulement quelques heures.
"La peine du bourreau" est un huis-clos oppressant assez dur à lire par son côté très psychologique. L'autrice nous immerge sans concession dans le couloir de la mort, ses procédures d'exécutions et le fonctionnement du système judiciaire américain.
Avec l'ambiance oppressante du couloir de la mort et cette attente insupportable pour savoir si le prisonnier va être gracié, on a l'impression de se retrouver entre les quatre murs d'une cellule du couloir de la mort.
"La peine du bourreau" est un roman qui amène le lecteur à réfléchir sur des thématiques fortes comme l'injustice, l'inhumanité, la peine de mort...
Pendant ces longues heures d'attente du verdict, dans une Amérique ultra conservatrice où le racisme fait partie intégrante de l'éducation dès l'enfance, nous découvrons les différentes facettes de la vie d'Ed 0451 qui tour à tour vont nous toucher ou nous horrifier. Le prisonnier relate pendant les dernières heures qui lui restent son enfance, sa vie maritale, ses déceptions, ses regrets, sa vie de gardien, de bourreau puis enfin de criminel et de condamné.
Avec ce roman, je découvre la plume d'Estelle Tharreau qui est fluide et incisive avec des descriptions parfois assez crues. Le découpage des chapitres tel un compte à rebord avant le verdict et les sauts dans l'histoire d'Ed 0451 donnent du dynamisme et beaucoup de rythme à l'histoire.
En bref, un excellent page-turner qui nous immerge sans concession dans le couloir de la mort, ses procédures d'exécutions et le fonctionnement du système judiciaire américain.
Troisième lecture en matière de littérature noire pour le Prix des Auteurs Inconnus et cette dernière s’est tout aussi bien passée que pour ses deux premières concurrentes.
Même s’il est écrit par une auteure française, Estelle Tharreau, « La peine du bourreau » trouve son décor planté dans un pénitencier américain, peu de temps avant l’expiration du délai de grâce pour l’exécution d’un condamné à mort. Sur un délai de 4 heures, le bourreau McCoy va livrer ses confidences sur le couloir de la mort.
Véritable huit-clos oppressant, c’est tout le milieu carcéral qui faire l’ambiance de ce thriller. Les heures et les minutes s’égrènent avant l’expiration du délai durant lequel le gouverneur de l’État peut choisir de procéder à l’exécution ou de commuer la peine capitale en peine à perpétuité. Le lecteur a, lui-même, l’impression se se retrouver entre les quatre murs de la cellule du couloir de la mot, dans cette attente insupportable. L’opposition entre les défenseurs et les opposants de la peine de mort amène la réflexion auprès du lecteur.
Estelle Tharreau offre un twist final auquel je ne m’attendais pas du tout. J’ai dû relire plusieurs fois le dernier chapitre pour être certaine de ne pas m’être trompée mais non, l’auteure a bien le culot de le faire !
Tout simplement génial!
Un seul petit inconvénient relevé est que les confidences de notre « héros » principal, McCoy, font état d’un grand nombre de protagonistes différents. Mon actuelle mémoire d’huître et moi avouons avoir eu parfois du mal à nous y retrouver parmi tous ceux-ci. Mais cela n’a gâché en rien mon plaisir de lecture !
Bon, ne nous voilons pas la face, il faut avouer que la maison d’édition Taurnada a le don de dénicher de très bonnes surprises en matière de littérature noire et cela pour un tout petit prix (puisque leurs livres se vendent à seulement 9,99 euros!). Cela prouve bien qu’il ne faut pas investir des mille et des cents pour pouvoir passer un bon moment d’évasion par sa lecture ! Ces petits formats font très bien leur job et sont, pour tous ceux que j’ai déjà eu l’occasion de lire, de très bons divertissements.
Le prisonnier Ed 0451 est transféré du couloir de la mort de la prison de Polinsky vers la chambre d'exécution de Walls.
McCoy, travaille depuis 42 ans comme bourreau et s'apprête à prendre sa retraite.
Le gouverneur Russel Thompson, 34 ans, a 4 heures pour décider si oui ou non Ed 0451 sera exécuté ou gracié.
Ed a commis 5 meurtres prémédités et de sang-froid avant d'être arrêté.
Débute un huis clos entre le Gouverneur, McCoy et Ed.
À travers les souvenirs d'Ed on découvre la raison de ces meurtres, qu'il a refusé d'expliquer. Ed, marié à la gentille Shelby, a grandi sous le joug d'un père autoritaire, raciste et faisant la loi et la justice à sa façon. C'est en se mariant et en quittant sa ville natale, qu'il commencera à avoir ses propres opinions et à mener sa vie comme il le souhaite.
McCoy décrit sa vie de gardien de prison, où tout était alors différent, un monde où les prisonniers faisaient la loi. La corruption était omniprésente.
Il décrit avec beaucoup de justesse le profil des condamnés à mort, des profils complètements différents les uns des autres. Se pose alors, légitimement, la question du pour ou contre la peine de mort ?
Certains condamnés ont tué pour se protéger ou protéger leur famille. Certes, ils doivent être punis, mais qui sommes nous pour décider qu'ils méritent de mourir ?
Ce roman nous montre la noirceur de l'être humain, mais aussi sa bienveillance et son avidité de justice.
J'ai adoré la fin, elle est parfaite. Un roman époustouflant, rempli de sagesse et d'humanité.
Premier coup de coeur 2021 !
Le vieux McCoy est sur le point de prendre sa retraite. Bourreau et gardien affecté au couloir de la mort de la prison de Walls au Texas, il lui reste une dernière exécution, celle du condamné 0451, dont les cinq meurtres déchaînent l’opinion publique. Seul le gouverneur de l’Etat peut encore tout arrêter en usant du droit de grâce. Quatre heures avant l’échéance, pendant que pro ou anti peine de mort manifestent de plus en plus violemment devant l’établissement pénitentiaire, l’homme politique s’y rend officieusement pour s’entretenir avec l’exécuteur. Cette conversation qui nous fait découvrir les actes et la personnalité du condamné, en même temps que la sombre expérience de McCoy durant plus de quarante ans, infléchira-t-elle la décision du gouverneur ?
Dans ce récit qui entretient le suspense jusqu’au bout quant au sort du condamné, l’auteur s’est inspirée d’une multitude de cas réels pour dresser une sorte de tableau général de la peine de mort au Texas ces quarante dernières années. Si le procédé littéraire utilisé peut paraître artificiel, tant ces quatre heures de rétrospective secrète semblent au final bien improbables, il a le mérite de confronter le lecteur à une réalité très concrète, celle que chacun devrait sérieusement considérer avant de prendre position pour la peine capitale.
La description précise de la procédure, des longues années d’attente puis de la mise à mort elle-même, l’entretien avec le bourreau sur ses décennies d’expérience, placent d’abord le lecteur face à une réalité crue qui ne permet aucune échappatoire. Il est sans doute aisé de discourir sur des principes, c’est autre chose de se retrouver soi-même dans la peau du bourreau, confronté à la tangibilité froide de l’acte de mise à mort. Une fois la réalité concrète du châtiment en tête, il est temps d’aborder toute une série de cas et de situations où il fut appliqué au Texas. Entre erreurs judiciaires fatales, injustices sociales et raciales face au crime, meurtriers justiciers, juges sous pressions politiques et médiatiques…, le récit a tôt fait de brouiller la frontière entre le Bien et le Mal, et de rendre la notion de justice toute relative.
Sous les apparences d’un thriller tendu par le suspense d’un terrible compte-à-rebours, ce glaçant huis-clos aux passages parfois insoutenables est au final une confrontation sans ménagement à nos responsabilités : au vu des cas évoqués, que penser de la hâte de notre société à se débarrasser de monstres qu’elle a parfois contribué à engendrer, en ne leur laissant que des vies marquées dès la naissance par la misère, la violence et le désespoir ? Après ce livre en tout cas, le lecteur ne pourra plus considérer la peine capitale tout à fait comme avant.
D’ordinaire, pour parler des crimes d’un assassin, les auteurs de polar s’intéressent aux victimes, aux coupables, aux enquêteurs ou aux tribunaux. Estelle Tharreau a choisi un angle assez original. Son choix s’est porté sur le rôle du bourreau qui va être en quelque sorte interviewer, pour témoigner de son métier et de ses conséquences.
A travers la vie de cet être au métier singulier, l’auteure s’attaque au thème beaucoup plus vaste de la justice. En narrant les destins de coupables condamnés à la peine capitale, elle met en lumière la différence que l’on constater entre morale et justice. La culpabilité des prisonniers n’est jamais remise en cause, mais le châtiment qu’il leur est réservé, peut être discutable.
En parallèle de cette aventure, on découvre aussi la puissance des différents médias. De par leur influence, ils mettent en mouvement le tribunal populaire. On constate alors que les retombées de ces actions collectives vont avoir un rôle important dans le résultat des décisions judiciaires.
« La peine du bourreau » réussit la prouesse de ne pas prendre parti. Il n’est en aucun cas un réquisitoire pour ou contre le couloir de la mort mais plutôt une approche objective de cette condamnation. Le roman est court et se déroule sur seulement quatre heures. De chapitre en chapitre, le suspense grandit à mesure que l’on se rapproche de l’heure fatidique. Notre lecture reste suspendue aux lèvres du Gouverneur : Va-t-il changer d’avis ou valider sa décision ?
Pris au piège dans cette prison, j’ai été embarqué par cette histoire humaine anxiogène. Je me suis pris d’intérêt pour ces chroniques d’un exécuteur, qui se payent même le luxe d’un dénouement renversant. Estelle Tharreau est une écrivaine peu connue mais ce roman a été une telle révélation pour moi que je m’engage à tout faire pour que cela change !
http://leslivresdek79.com/2020/11/16/602-estelle-tharreau-la-peine-du-bourreau/
En préambule et c'est important, le lecteur ne trouvera pas ici de série de crimes plus sanguinaires et sordides les uns que les autres mais par contre une véritable réflexion / échange.
L'idée de base d'Estelle Tharreau m'est apparue comme extrêmement intéressante et inédite dans mes lectures traditionnelles du thriller. En effet, elle joue sur plusieurs tableaux avec un véritable suspense ; une discussion sur le maintien de la peine de mort (particulièrement aux USA), l'injustice entre celles ou ceux qui se trouvent à tort ou à raison dans le couloir de la mort, les critères plus ou moins objectifs des jurés qui les condamnent, comment un bourreau (Ed Mc Coy / Ed 0451) persuadé de la justesse de sa fonction plonge à son tour dans le camps des condamnés à mort et enfin la trés hypothétique interrogation de celui qui peut ou non gracier un condamné à mort ; le gouverneur Thompson.
Récit d'une vie d'un jeune américain, issu d'une famille de policiers, second garçon d'un père fermier en quête d'un avenir professionnel et famillial qui est celui que lui offre la pénitentiaire, promis au meilleur avenir possible. Une famille et une belle - famille parfaits représentants d'une certaine frange de la société texane avec sa bonne dose de racisme, de violence où la libre prossession d'armes comme de son utilisation pour se défendre et l'assurance d'être déténtrice de la Vérité sont les leitmotiv. Fort des certitudes relayées par sa famille, son éducation, viscéralement raciste où le noir est définitivement le danger, le bon droit à tout propos et une certaine idée du rève américain forcemment égoïste et supérieur à tout, dans les faits c'est même la carrière de bourreau qu'il embrasse sans regret ni crainte, tout cela serait fort beau si, très vite les épreuves ne s'étaient pas multipliées....
Epreuves personnelles tout d'abord avec un couple qui reste sans enfant, se déchire puis de la maladie qui frappe son épouse et l'emportera... Et puis le quotidien des condamnés à mort qu'il gère, sa première exécution ratée d'un jeune adolescent noir dans d'atroces souffrances, qui va le poursuivre toute sa vie, et surtour la première fois où le doute s'établit sur la réelle culpabilité de ce malheureux. Le doute qui va se reproduire pour d'autres exécutions, l'injustice d'une peine de mort appliquée sans graduation ; le fait que des ordures criminelles multi récidistes plus ou moins repentantes voit leur peine commuée où retardée alors que d'autres sont expédiés siné dié pour un meurte certes mais accidentels. Le doute aussi sur l'application systématique de la peine de mort pour des cas discutables, voîre des innocents par des juges sans discernement et froids comme des avocats commis d'office qui ne font rien pour vraiment aider leur client. Trop de failles dans ce système jugé sans faute dont on lui avait farci l'esprit, la proximité et l'humanité des familles de certains condamnés comme de ceux dont on lui avait inculqué qu'ils étaient les ennemis à abattre.... le bourreau s'interroge beaucoup et sombre dans sa propre justice et croisade meurtrière. Croisade à laquelle on ne peut que participer sur le principe ....
Cette confession c'est celle que va recueillir, en dépît de toute convenance, en toute illégalité et usages, le procureur Thompson, le seul qui dispose de 4 heures pour gracier ou non cet homme, alors que gronde à l'extérieur de la prison une foule composée entre autres d'opposants à la peine de mort, de ceux qui au contraire la soutienne.... Le lecteur assiste à un véritable match entre les deux hommes, l'un voulant comprendre, l'autre assumant complètement son destin et dont l'ultime combat sera celui de faire comprendre à défaut de voir le gouverneur se rallier à ce plaidoyer....
Passionnant donc de bout en bout, un style convaincant et incisif. Une galerie de personnages parfaitement rendue
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