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La part modeste ; Bernard Belluc, Delphine Coindet, Gérard Collin-Thiébaut

Couverture du livre « La part modeste ; Bernard Belluc, Delphine Coindet, Gérard Collin-Thiébaut » de Norbert Duffort et Martine Buissart aux éditions Lienart
  • Date de parution :
  • Editeur : Lienart
  • EAN : 9782359062991
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Coincé entre l'art brut, l'art populaire, l'art naïf et les arts primitifs, l'art modeste, aux limites ondoyantes, est celui décliné par des personnes qui nous incitent à considérer les objets différemment. Ceux-ci ne sont plus appréhendés pour leur côté utilitaire mais pour leurs qualités... Voir plus

Coincé entre l'art brut, l'art populaire, l'art naïf et les arts primitifs, l'art modeste, aux limites ondoyantes, est celui décliné par des personnes qui nous incitent à considérer les objets différemment. Ceux-ci ne sont plus appréhendés pour leur côté utilitaire mais pour leurs qualités plastiques ; formes, couleurs et matières sont vues comme autant de potentialités d'expression.
La part modeste est la rencontre de trois artistes, Bernard Belluc, Delphine Coindet et Gérard Collin-Thiébaut, reconnus dans des champs différents de la création contemporaine, et que le MIAM a décidé d'interpeller sur leur vision de l'art modeste.
Proximités et frottements entre les oeuvres : une déambulation ouverte sur des points de vue croisés dans un joyeux désordre plus ou moins organisé, propre à l'esprit du lieu.
Si Bernard Belluc, co-fondateur du MIAM, est ici « chez lui », Delphine Coindet et Gérard Collin-Thiébaut, entretiennent, tant par leur démarche que dans leur production artistique, une relation de coeur avec l'art modeste.
Tout en poursuivant sa collecte nostalgique, Bernard Belluc opère un feedback sur son adolescence ; il sort de ses célèbres « vitrines » pour nous inviter dans son univers cinématographique et musical.
À coup de puzzles et de rébus, Gérard Collin-Thiébaut construit son musée imaginaire entre culture savante et culture populaire et joue, avec malice, des relations incertaines entre image et langage.
Delphine Coindet, quant à elle, poursuit dans le cadre singulier du MIAM la remise en question de son oeuvre protéiforme.

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