80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis la fin du XVIIe siècle - comme l'illustre le Cabinet de Charles Perrault (1690) - la musique compte parmi les beaux-arts. Une fois mise en système avec la poésie, la peinture, l'architecture ou même la danse, son identité est alors questionnée, son analogie avec les autres arts étudiée, sa spécificité recherchée et sa valeur discutée. L'enjeu de ces discussions dépasse le seul intérêt musicologique. Le présupposé de cet ouvrage est que l'art musical institue lui-même un système de représentation de la nature. Posé comme référent, il soumet les autres arts à l'épreuve de sa propre spécificité ; pensé encore comme modèle d'une conception particulière du beau, il fournit alors l'instrument d'une appréciation des autres disciplines. C'est donc principalement selon un « esprit de système » que se construit l'identité poétique de la musique au siècle des Lumières, justifiant d'infléchir ici les frontières cloisonnant aujourd'hui la recherche musicologique, littéraire, philosophique et celle de l'histoire de l'art.
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