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La meute

Couverture du livre « La meute » de Sarah Koskievic aux éditions Plon
  • Date de parution :
  • Editeur : Plon
  • EAN : 9782259276511
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Elles n'ont ni le même âge, ni les mêmes passions - si ce n'est ce lien invisible qui les unit. Elles n'ont rien à faire ensemble. Et pourtant, elles traversent les décennies côte à côte, chacune à son rythme. Elles ont dû se résoudre à admettre que leur amitié n'est ni évidente, ni facile mais... Voir plus

Elles n'ont ni le même âge, ni les mêmes passions - si ce n'est ce lien invisible qui les unit. Elles n'ont rien à faire ensemble. Et pourtant, elles traversent les décennies côte à côte, chacune à son rythme. Elles ont dû se résoudre à admettre que leur amitié n'est ni évidente, ni facile mais qu'en bien des points, elle surpasse toute les histoires d'amour. Elles sont six : Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Vous allez les aimer. Vous allez les détester. C'est LA MEUTE.

D'une plume acerbe et sans concession, Sarah Koskievic campe des héroïnes entières aux prises avec les questions du quotidien sur le couple et le désir d'enfant, où légèreté rime souvent avec cruauté. Un roman cru et rock.

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Avis (4)

  • Six femmes : Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Elles sont amies avec les hauts et les bas que cette amitié engendre. Très différentes, elles se jugent, se critiquent, s'acceptent, s'aiment. Elles forment La Meute.

    La meute est moderne, rock, il décoiffe mais je suis resté en...
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    Six femmes : Olivia, Romane, Elly, Isadora, Louise et Rosalie. Elles sont amies avec les hauts et les bas que cette amitié engendre. Très différentes, elles se jugent, se critiquent, s'acceptent, s'aiment. Elles forment La Meute.

    La meute est moderne, rock, il décoiffe mais je suis resté en dehors, je n'ai eu ni sympathie ni antipathie pour ces femmes. Bon, ça arrive, tant pis. Plus qu'un échec, c'est un roman qui ne m'est pas destiné, mais il trouvera des lecteurs moins ronchons que moi. Rien à voir avec le fait qu'il n'y soit question que de femmes, juste, ce roman ne m'a pas intéressé.

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  • Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont...
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    Elles ont le verbe haut, et les idées larges. Leurs désirs en étendard, elles refoulent leur sentimentalisme et sortent vite les griffes. Elles ne sont pas toujours tendres entre elles, unies dans l’amour vache, mais savent où trouver une épaule si besoin est. Féministes à leur sauce, elles ont leurs entrées dans les bars à la mode de la Rive droite et ne se privent d’aucun plaisir interdit : drogues, alcool, aventures d’un soir, elles ne rendent ni ne demandent de comptes. Elles s’appellent Liv, Isadora, Elly, Romane, Louise, que doit rejoindre l’excessive Rosalie, qui n’a pas pointé le bout de ses talons depuis quelque temps.

    Enfants, mari, carrière, les années passant, chacune a tenté de faire sa vie, se retirant parfois du groupe sans jamais s’en extraire totalement. Par et par-delà les emmerdes, la Meute est leur autre famille, celle qu’elles se sont choisie, celle auprès de qui Liv se réfugie quand son mec la quitte, un SMS en guise d’au revoir. C’est sur ce fond d’échec amoureux qu’à travers une décennie à la chronologie bousculée, par la voix de Liv, on revit les rencontres, la naissance des amitiés, des rivalités vite balayées. On remonte le cours de ces six existences mêlées dans une débauche décomplexée et qui, ensemble, ont toujours la force de surmonter.

    Des personnages que n’aurait pas renié Jacqueline Susann, une insolence à la Lolita Pille, un désenchantement à la Ann Scott : j’ai adoré ce bouquin. Je l’ai lu d’une traite, entraînée par les états d’âme de la narratrice. Ces personnages amochés par la vie, fragiles et forts, réfugiés dans les bonheurs artificiels à défaut de rêves qui n’existent plus sitôt qu’on les a avoués, sont tellement intéressants, livrés par qui sait les dessiner. J’étais déjà conquise par le style, libre et libéré, puis la fin m’a laissée sans voix. Une claque sonnante. Sarah Koskievic signe là le portrait nécessaire d’une génération. Un roman réaliste comme il y en a trop peu – je ne l’ai que plus apprécié. À lire absolument.

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  • Olivia, Isadora, Elly, Louise, Rosalie, Romane. Elle constitue ce qu’elles appellent « La Meute », une bande de filles d’âges, d’expériences, de vies, d’envies différents mais liées par un fil d’amitié invisible qu’elles seraient bien en peine d’expliquer.

    Sarah Koskievic nous amène au cœur...
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    Olivia, Isadora, Elly, Louise, Rosalie, Romane. Elle constitue ce qu’elles appellent « La Meute », une bande de filles d’âges, d’expériences, de vies, d’envies différents mais liées par un fil d’amitié invisible qu’elles seraient bien en peine d’expliquer.

    Sarah Koskievic nous amène au cœur de cette bande, passant du présent au passé pour nous expliquer le lien qui les unit.

    Autant le dire, je ne me suis attachée à aucune d’entre ces femmes, trop pleines d’aigreur et de rancoeur. Elles picolent, couchent, parfois se droguent. Ça se veut sans doute trash mais c’est surtout désespérant de solitude et les clichés ne sont jamais bien loin.

    Au final pas tellement d’aspérités auxquelles se rattacher et pas beaucoup d’empathie ressentie au fil de ce court roman.

    La fin, inattendue et violente, m’a laissée un peu démunie avec mon désintérêt pour ces 6 femmes.

    Je m’en voudrais presque de ne pas les avoir appréciées, car aussi insupportables soient-elles, elles ne méritent pas le sort cruel qui leur est réservé. Quelqu’un le mérite-t-il d’ailleurs ? N’est-ce pas à ce questionnement que souhaite nous amener Sarah Koskievic ?

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  • Pour son premier livre, Sarah Koskievic nous livre ici l'histoire de Liv (Olivia) et sa meute.

    Tout commence avec une joyeuse bande de copines déjantés, adeptes des excès en tout genres et fleurtant dangereusement avec la mort. Six meufs, six copines, six hyènes, six parisiennes sans langue...
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    Pour son premier livre, Sarah Koskievic nous livre ici l'histoire de Liv (Olivia) et sa meute.

    Tout commence avec une joyeuse bande de copines déjantés, adeptes des excès en tout genres et fleurtant dangereusement avec la mort. Six meufs, six copines, six hyènes, six parisiennes sans langue de bois, constituent "la meute". Elles vont traverser les épreuves de la vie appuyées les unes sur les autres. Elles vont pleurer, elles vont rire, parfois même pleurer de rire ; mais aussi se disputer ou tout plaquer pour tout recommencer. Chacune avec ses névroses, ses faiblesses et ses doutes va se laisser embarquer dans le tourbillon de la vie et son lot d'emmerdes.

    Avec une chronologie alternant les retours en arrière et l'histoire d'aujourd'hui, le texte se veut brut et rythmé. Non, ce n'est pas qu'un roman feel good avec une bande copines fêtards, c'est bien plus sombre et plus profond. On y trouve le mal-être d'une jeunesse en proie aux excès, la difficulté d'être une femme totalement libre de ses choix, la dangerosité des addictions, mais aussi l'amitié plus forte que tout.

    A lire jusqu'au bout avec une fin totalement inattendue.

    "Ce n'est pas parce que j'ai une vision plus distendu des rapports entre les êtres humains que je ne suis pas une bonne amie. "

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