Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
" J'ai aimé Kant, non point la grandeur austère de sa pensée, mais pour le désespoir qui l'anime de n'être pas aimé.
Le deuil du bonheur est peut-être le plus effroyable qui soit, mais aussi le plus moral, car en apprenant à ne pas nous aimer nous devons, à tout le moins, compatissants. Un conte moral éveille en nous cette charité lyrique qui tient autant à l'apitoiement qu'à la cruauté. Assurés de notre enfer et revenus de notre paradis, nous sommes dans le monde intermédiaire de la souffrance déçue. C'est alors qu'intervient le conte pour nous promettre une médiation égoïste sur notre chagrin.
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