Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

La Justice pénale internationale : Colloque de Limoges, 22 et 23 nov. 2001, placé sous le haut patronage du Garde des Sceaux, du ministre de la justice et du ministre de la recherche.Avant-propos de Michel Massé. Postface de Claude Jorda

Couverture du livre « La Justice pénale internationale : Colloque de Limoges, 22 et 23 nov. 2001, placé sous le haut patronage du Garde des Sceaux, du ministre de la justice et du ministre de la recherche.Avant-propos de Michel Massé. Postface de Claude Jorda » de Simone Gaboriau aux éditions Pu De Limoges
  • Nombre de pages : 616
  • Collection : (-)
  • Genre : Droit
  • Thème : Droit
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

La cartographie de la justice pénale internationale a débuté en Allemagne, à Nurembreg avec la tenue du Premier Tribunal pénal international où se sont jugés les crimes commis par les nazis. Aujourd'hui ce même tribunal se tient à La Haye où bientôt viendra s'installer la Cour pénale... Voir plus

La cartographie de la justice pénale internationale a débuté en Allemagne, à Nurembreg avec la tenue du Premier Tribunal pénal international où se sont jugés les crimes commis par les nazis. Aujourd'hui ce même tribunal se tient à La Haye où bientôt viendra s'installer la Cour pénale internationale. C'est le conflit en ex-Yougoslavie qui déclenche la création au Pays-Bas du Tribunal pénal international pour la Yougoslavie (TPIY). L'émotion suscitée par les massacres et la purification ethnique d'un côté, l'impuissance de la communauté internationale à mettre un terme au conflit de l'autre, accélère ce qui depuis Nuremberg est en débat : une instance de justice qui par sa nature pénale et internationale empiète et dépasse la souveraineté des États et juge des crimes au nom des valeurs communes de l'humanité. Et à la suite du TPIY se crée le Tribunal pénal international pour le Rwanda. En matière de justice pénale internationale on note une accélération des réalisations. Qu'elle doit en être sa direction ? Celle-ci se situe quelque part entre éthique et politique, entre symbolique et éthique et enfin entre pardon et réconciliation comme tentent de le montrer l'ensemble des réflexions et des témoignages (Rwanda, Bosnie, Cambodge qui se dit le grand oublié de la justice pénale internationale, depuis maintenant 22 ans, date de la chute du régime sanguinaire des Khmers rouges) regroupés dans le livre.

Donner votre avis