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La guerre d'Algérie, journal du 55/2B ; (constantinois 1956-1958)

Couverture du livre « La guerre d'Algérie, journal du 55/2B ; (constantinois 1956-1958) » de Michel Leperre aux éditions Michel De Maule
Résumé:

Appelé sous les drapeaux au sortir de l'ESCP, Michel Leperre, avec son condisciple Yves Bruant, classe 1955/2B comme lui, intègrent l'École des Officiers de Saint-Maixent et, pour rester ensemble, choisissent au hasard la même affectation : le 35e Régiment d'infanterie. Cette affectation les... Voir plus

Appelé sous les drapeaux au sortir de l'ESCP, Michel Leperre, avec son condisciple Yves Bruant, classe 1955/2B comme lui, intègrent l'École des Officiers de Saint-Maixent et, pour rester ensemble, choisissent au hasard la même affectation : le 35e Régiment d'infanterie. Cette affectation les conduira dans un secteur du Nord Constantinois particulièrement difficile. Ils participeront ainsi, malgré eux, pendant de nombreux mois à la guerre d'Algérie.

Michel Leperre rencontre et se lie d'amitié avec Christian Biot, séminariste dont le charisme, le courage, la droiture et la simplicité le marquent particulièrement, devenant l'ami le plus cher de sa vie.

Tout au long de ce séjour algérien, Michel Leperre tient son journal et y relate en particulier les comportements odieux de certains militaires prouvant par-là que la torture était systématique et ne se limitait pas à la bataille d'Alger.

Ces témoignages ne plairont pas à sa hiérarchie qui ira jusqu'à perquisitionner ses affaires ! Parallèlement, il entretint une correspondance sérieuse avec son père dont les prises de position politique entraîneront entre eux une opposition déclarée.

Contrairement à ce qui était claironné en haut lieu, la situation générale était mauvaise, même sur le plan militaire: les patrouilles ne se faisaient plus qu'à deux sections, certains postes avancés étaient abandonnés, les mâles algériens avaient disparu des mechtas...

Aujourd'hui, ses deux camarades, Bruant et Biot, auxquels il était intimement attaché, malgré l'éloignement de la vie, sont décédés. Ils méritaient bien qu'on parle d'eux !

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