80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il y a plusieurs Gaspésie. La baie des Chaleurs n'est pas la vallée de la Matapédia, la pointe de Forillon n'a que peu de choses à voir avec la région de Métis. Chacune a son caractère, son charme, chacune est susceptible de nous toucher. Dans ce carnet de croquis, Jacques Martineau dessine le littoral, ses grèves bien ventées, ses brumes, ses déferlantes, ses envolées d'oiseaux marins, ses falaises de roches stratifiées ou de conglomérats, ses petits ports, ses monolithes, ses anses presque secrètes, ses galets dont les teintes varient sans cesse et qui sont comme la signature de chaque plage.
Après une carrière dans l'enseignement, Jacques Martineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont paru dans la revue Nouaison (1998-2001) et, en 2008, il a participé à un ouvrage collectif en hommage à Robert Melançon (Le Noroît). Avant La Gaspésie de Métis à Miguasha, il a fait paraître Carnet de Québec aux éditions du Septentrion (2009).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année