"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1678, la France signe la glorieuse paix de Nimègue.
La guerre de Hollande s'achève. Paris donne à Louis XIV son surnom : Louis le Grand. Pour la première fois dans l'histoire du règne, et peut-être dans l'histoire de la France, la marine vient de remporter au cours d'un conflit des succès décisifs. Louis XIV doit son surnom autant au maréchal de Turenne qu'au vieux Duquesne, vainqueur de Ruyter en Méditerranée. Colbert commande alors en Ponant et en Levant de véritables albums iconographiques représentant les divers types de bâtiments : barques de pêche, navires de commerce, vaisseaux de guerre et galères levantines.
Ceux-ci, réalisés au lavis, ont un triple objectif : montrer au roi ce qu'est la flotte de France (un peu comme la flotte miniature réalisée sur le Grand Canal de Versailles) ; faire le point des connaissances en matière de construction navale ; instruire Seignelay - le propre fils du grand Colbert et bientôt son successeur. Pour la première fois sont ici réunis les Albums dits de Jouve (marine de commerce) et de Colbert (marine de guerre).
Réalisé grâce au fonds du Service historique de la Marine (château de Vincennes) et du musée de la Marine (palais de Chaillot), cet ouvrage constitue un véritable inédit rassemblant les voiles et voiliers du temps du Roi-Soleil.
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