"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En démocratie, l'accès au pouvoir - et sa pérennité - passe par la confiance, et la confiance s'obtient par le verbe. Quand l'illusion du verbe s'efface devant la vérité, alors la réalité détruit la confiance politique. Si celle-ci disparaît, la perte de la confiance économique en découle et conduit au désastre social dans un tissu national où chaque citoyen se méfie de tout et de tous.
En mai 2012, Paul Arbaud écrivait : « le changement doit lever l'incertitude afin que ce qui peut advenir devienne un avenir et un défi aux temps nouveaux. » Aujourd'hui, face aux écueils, échecs et incertitudes du présent, il estime qu'« en principe(s) ça ne peut pas marcher. » Il trace ici un programme consensuel dans lequel les règles imposées par les temps nouveaux remplacent les principes idéalistes démagogiques et assurent à la fois le retour du fonds des vertus et celui des fonds de financement. Ce vrai changement s'accompagne du contrôle d'une redistribution équitable des nouvelles ressources à ceux qui en ont besoin, citoyens ou entreprises.
Un grand « petit livre » fascinant et facile à lire où l'imagination, l'humour et la logique nous font passer du total déséquilibre économique et moral à l'espoir...
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