"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avant l'apparition des multinationales, des grands patrons et des clubs de réflexion, on s'ennuyait ferme entre deux sabordages de concurrence. C'est ainsi que les dieux du travail (ceux qui exploitent autrui en conscience), navrés de régner sur des terres aussi dénuées d'intérêt, s'amusèrent à créer le marché du travail avec l'économie comme fin en soi et l'homme pour marchandise.
Les patrons se battent, alors, entre eux pour des raisons diverses mais aussi contre leurs employés qu'ils méprisent en secret. Les dieux du travail trouvent cela très amusant, avant d'entrer en guerre économique eux aussi, business contre business, plongeant tous les territoires dans des années de risques psychosociaux, suicides, maladies et chute sociale.
Au milieu de cette période, on inventera l'entreprise 100% robotisée, le revenu de base inconditionnel et la simulation informatique du marché du travail puis ce sera l'âge du travail choisi librement. oui ! . la « fin du travail », cette phrase atomique qui souffle les structures sociales et fait rire les élus.
Cette perspective, offerte par l'évolution des technologies, échappe à la fois à l'exaltation et à la déploration : elle est une simple propriété nouvelle à acter.
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