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La disparue de Noël

Couverture du livre « La disparue de Noël » de Anne Perry aux éditions 12-21
Résumé:

Dans ce court récit de Noël inédit d'Anne Perry, l'héroïne principale n'est autre que Lady Vespasia Cumming-Gould, personnage excentrique et mémorable rencontré au fil de la série « Thomas Pitt ».C'est l'époque de Noël, et Vespasia, alors jeune fille pétillante de bonne famille, est invitée à... Voir plus

Dans ce court récit de Noël inédit d'Anne Perry, l'héroïne principale n'est autre que Lady Vespasia Cumming-Gould, personnage excentrique et mémorable rencontré au fil de la série « Thomas Pitt ».C'est l'époque de Noël, et Vespasia, alors jeune fille pétillante de bonne famille, est invitée à passer un délicieux week-end à Applecross, en compagnie d'un petit groupe d'amis tous bien nés et habitués à mener une vie oisive et sans contrariété.Mais un soir, pendant le dîner, une altercation éclate entre Isobel Alvie et Gwendoline Kimmuir. Lorsque les convives apprennent peu après le suicide de cette dernière, tous accusent en bloc Isobel, la jugeant coupable de cette mort.La jeune femme n'a qu'un seul moyen d'expier sa faute : aller prévenir la mère de Gwendoline, qui vit en Écosse, du suicide de sa fille... Vespasia décide d'accompagner la jeune femme dans ce long voyage, et de découvertes en révélations sur la disparue, démêlera la vérité de cette sombre tragédie.

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Avis (1)

  • "Vespasia était vêtue d’une robe de satin sacré, une teinte que tout le monde ne pouvait se permettre de porter, mais le prince Albert en personne disait qu’elle était la plus belle femme d’Europe. Un tel compliment ne lui avait sans doute pas attiré la sympathie de la reine."

    "Tous étaient...
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    "Vespasia était vêtue d’une robe de satin sacré, une teinte que tout le monde ne pouvait se permettre de porter, mais le prince Albert en personne disait qu’elle était la plus belle femme d’Europe. Un tel compliment ne lui avait sans doute pas attiré la sympathie de la reine."

    "Tous étaient tournés vers Gwendolen et Bertie quand Isobel fit la remarque qui déclencha le drame. Gwendolen, assise au milieu d’un océan de jupons, la tête haute, son cou élancé paraissant pâle à la lumière des chandelles, était radieuse. Bertie se tenait à côté d’elle, l’air légèrement possessif"

    Un roman où l’intrigue victorienne mêle la suspicion, l’hypocrisie, la rédemption, une réflexion sur la bourgeoisie anglaise, la lecture est fluide et rapide mais ce n’est pas trop une histoire que j’apprécie au final malgré la plume d’Anne Perry, soit je match ou soit sa casse dans ses romans autour de noël malheureusement je suis dans le second cas cette fois.

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