A la chapelle de la salpêtrière, il découvre pour la première fois le travail de bill viola et il est impressionné par une vidéo figurant une silhouette disparaissant sous l'eau qui commence avec une goutte et se termine dans une masse d'eau diluant la figure humaine.
Cette sensation de dématérialisation intéresse depuis toujours martin reyna, et l'eau restera une constante dans sa peinture.
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