Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
De tous les grands westerns des années 50 d'Anthony Mann, L'Homme de la plaine (The Man from Laramie, 1955, 1h54) est le dernier de la série dans lequel James Stewart incarne le héros. C'est celui qui accorde le plus d'importance au paysage, à l'espace, sans doute grâce à un usage superbement maîtrisé par le réalisateur du format Cinémascope couleurs. Cette histoire de vengeance, violente, est filmée par une caméra contemplative, paradoxe qui fait d'autant mieux ressentir l'intensité et la bassesse des passions humaines en opposition avec la sérénité et la grandeur de la
nature. Avec Mann, les codes du western connaissent une évolution tout en finesse, mais le genre conserve toute sa grandeur.
Anthony Mann, même s'il a réalisé bien d'autres films, reste avant tout un grand réalisateur de westerns classiques, un disciple de John Ford.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !