"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les musiciens de Klezmer sont réunis dans la maison d'une vieille dame. Il y a une grande fête et ils doivent jouer toute la nuit. C'est là qu'ils deviennent vraiment amis. Yaacov aimerait bien épouser Hava et lui faire plein d'enfants. Le Baron fait comme s'il n'était pas jaloux. Vincenzo casse son violon et se voit offrir un instrument extraordinaire. Tchokola le gitan continue de raconter des histoires juives, des histoires zaporogues, des récits édifiants sur la façon dont boxe Jesus-Christ, il raconte ce qu'on veut, pourvu qu'on lui paie à boire. L'Ange de la Mort rode autour de la maison en liesse.
Toujours avec de superbes dessins à l’aquarelle, technique que Joann Sfar détaille à la fin de ce second tome, nous suivons Vincenzo, Tchokola, Yaacov, Hava et Baron qui animent une dernière fête pour cette riche famille juive s’apprêtant à quitter Odessa au petit matin.
Hava et Yaacov nous gratifient d’une scène très mignonne dans la baignoire de la villa… les yeux bandés, tandis que Tchokola raconte des histoires juives puis de cosaques à un cosaque… Ce dernier reste avec eux dans la villa après le départ des propriétaires.
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