L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Johann Christoph Adelung est méconnu en France et même en Allemagne, sa patrie. Le souvenir de ce représentant notoire de la « Volksaufklärung » s'est estompé deux siècles après sa mort en 1806. Il nous reste de lui essentiellement une oeuvre lexicographique novatrice et d'une exceptionnelle qualité consacrée au « haut-allemand », à l'anglais et au latin médiéval et, dans les dernières années de sa vie, la mise en place d'un ambitieux projet de répertoire des langues du monde connues à l'époque, le Mithridate. En marge de ces publications remarquables, Adelung a produit une quantité prodigieuse de traités de grammaire, d'histoire des États et de la civilisation et de philosophie pratique. Cette littérature, qui nous paraît aujourd'hui d'un intérêt secondaire, a cependant une vertu remarquable, celle de nous éclairer sur l'univers intellectuel de l'Allemagne des Lumières, profondément bouleversé par les guerres napoléoniennes qui allaient reconfigurer tout l'ordre politique et social de l'Europe centrale avec la disparition du Saint-Empire et l'inexorable ascension de la Prusse.
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