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J'écris à quelqu'un marque le retour à la littérature d'André Bernold, plus de vingt ans après la parution en 1992 de L'amitié de Beckett, l'un des plus émouvants témoignages sur l'écrivain irlandais.
Vivre semblait l'avoir conduit à un silence qu'il ne voulait ou ne pouvait rompre. Il continuait d'écrire pourtant, des lettres, à quelques-uns mais à travers chacun à quelqu'un de plus indéfini, et c'est à l'un des destinataires de celles-ci, Jean-Pierre Ferrini, que ce livre doit d'exister.
Trésor d'auto-observation sévère, il est aussi et surtout un exercice de mémoire et d'admiration où les amitiés d'une vie (Beckett bien sûr, Derrida, Deleuze, Cioran, le musicien hongrois Györgi Kurtàg, l'artiste Simon Hantaï...) côtoient les fixes du ciel d'André Bernold (Saint-Simon, Spinoza, Retz, le logicien Kurt Gödel, Bach, omniprésent).
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