Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Capitaine de l'Equipe de France, seconde ligne de l'U.S Dax, détenteur de grands chelems, participant à la Coupe du Monde, ami des élites du monde de l'Ovalie, Jean Pierre Bastiat connut ses heures de gloire.
Aujourd'hui pas de Bouclier de Brennus dans la vitrine de l'assureur devenu, mais les preuves de l'amitié partagée, entre partenaires ou adversaires des terrains du monde entier.
Jean Pierre Bastiat, le géant landais, raconte comment la tête plus haute que celle d'un échassier de son pays il s'est acoquiné avec « La Goupille », le regretté capitaine Fouroux (Auch) dit « Napoléon ».
Toutes les bringues, les « tiaps », les nuits de soif d'après match, Jean Pierre Bastiat, les a traversées avec tenue, sinon retenue. Fils de l'école de l'élégance rugbystique inspirée par le président Patache Dassé, il garde blazer, chemise et cravate en ville, comme autrefois, avant et après match.
Mais sa partie est-elle finie ?
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