"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Etrange destin que celui de Jean Hugo. Révélé dans les années 1920 par ses costumes et décors de théâtre et de cinéma pour Marcel Achard, Jean Cocteau, Carl Dreyer entre autres, célébré de son vivant par Picasso, Cocteau, Eluard et tant d'autres, connu comme peintre de chevalet par des expositions à Paris, Londres, Bruxelles, New York, Toronto, Tokyo... il est toujours méconnu aujourd'hui dans son propre pays.
Il s'est exprimé, comme beaucoup de ses contemporains, dans la plupart des disciplines artistiques de son temps : décoration de théâtre et d'intérieur, illustration de livres précieux, gravure, peinture de chevalet beaucoup... et par le vitrail, c'est moins connu. Il a créé pourtant un peu plus de trente vitraux, pour quatre sanctuaires principalement : l'église abbatiale du couvent de La Sarte à Huy en Belgique entre 1936 et 1939, l'église Saint-Flavien du Mourillon à Toulon et la chapelle de la maison Saint-Dominique à Fanjeaux dans l'Aude en 1955, l'église Saint-Pierre de Nant dans l'Aveyron en 1980.
Le livre explore pour la toute première fois l'oeuvre verrière de Jean Hugo en présentant au passage les édifices remarquables où elle s'inscrit et les acteurs de sa réalisation : le R.P. Rzewuski et les maîtres verriers Jules-Albert Vosch de Bruxelles, Paul Bony de Paris, Jean Cavalier d'Aubagne.
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