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Après vingt ans de combat, c'est seulement en 2002, que des Maoris ont enfin pu ramener les restes de Jean-Baptiste Pompallier (1801-1871), premier vicaire apostolique d'Océanie occidentale, en Nouvelle-Zélande. À peu près inconnu en France, cet évêque missionnaire évangélisateur de la Nouvelle-Zélande de 1838 à 1868, est aussi connu que Lafayette aux États-Unis. C'est lui, de fait, qui domina largement la scène religieuse et politique de la Nouvelle-Zélande au cours de ses trente années de présence.
L'historien et chercheur Yannick Essertel restitue une figure complexe du renouveau missionnaire du xixe siècle. Ce travail est le fruit, selon Philippe Boutry, d'« une enquête rigoureusement informée, ouverte à la géopolitique, à l'histoire et à l'anthropologie, autour de la trajectoire d'un homme dont la démarche, les succès et les échecs éclairent à nouveaux frais l'histoire de la diffusion du christianisme à l'âge de la première mondialisation, de la rencontre des cultures et de la constructions des identités religieuses dans le monde colonial ».
En s'appuyant sur de nombreuses sources (en France, à Rome, et en Nouvelle-Zélande), l'auteur renouvelle, non seulement la connaissance du fait missionnaire en Océanie, mais aussi tout un pan de l'histoire missionnaire grâce à une approche originale et pluridisciplinaire.
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