Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« Le collage, où je travaille également par accumulations, m'a ouvert des possibilités infinies. J'ai un contact plus sensuel, plus rapide avec la matière. Mais le collage n'est ni un jeu ni une distraction. C'était une nécessité pour moi, qui m'a permis d'élaguer ma vision, qui l'a élargie et dont je bénéficie dans ma peinture. Il m'a ouvert, en effet, des horizons par sa technique même. Le collage a été un renouvellement de ma vision. Mais la vision est elle-même toujours une technique. On n'est pas peintre par paresse, ni par oisiveté, ni par dilettantisme. Notre vision change et nous devons donner dans notre art une nouvelle réalité qui corresponde à une nouvelle forme de l'esthétique. De plus en plus, dans un monde qui se mécanise, l'art représente la conscience de l'homme en élaborant une nouvelle réalité vivante. » Jacques Doucet
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