80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Entre chronique florissante et fabuleux conte moderne, cette myriade de récits entremêle le quotidien de trois générations de juifs stambouliotes au XXe siècle. Istanbul modèle leur existence à la lueur de leurs regrets, de leurs fantasmes ou des souvenirs qu'ils recréent. Dessinant, au gré de leurs errances, un monde nostalgique aux parfums enchanteurs.
Roman fleuve sur Istanbul, ville où beaucoup de nationalités se côtoient, notamment des juifs Stambouliotes. L’auteur nous invite dans un voyage avec une quantité de personnages. Un monde aujourd’hui perdu, la nostalgie y est très présente, les parfums, les regrets… Istanbul est la pièce maîtresse du livre, elle est aimée, adulée, ensorcelante. Beaucoup trop de personnages pour moi, on s’attache à une famille, à son histoire et nous voilà reparti vers d’autres êtres. Ils sont tous très attachants et chacun mériterait un livre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année