80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En 1954, Godzilla envahit les écrans de l'archipel nippon et impose un tout nouveau genre cinématographique : le kaiju eiga (films de monstres géants). Le monstre devient l'incarnation d'un péril atomique hantant le Japon. Propulsé comme spécialiste de la science-fiction, Ishirô Honda livre une oeuvre où l'espèce humaine affronte les kaiju (Rodan, La Guerre des Monstres) et les menaces venues de l'espace (Prisonnières des Martiens, Gorath), avant de subir elle-même des mutations irréversibles (L 'Homme-H, Matango).
Même si l'ombre du champignon nucléaire domine, sa filmographie se nourrit d'espoir et d'utopies (Latitude Zero, Les envahisseurs attaquent). Premier ouvrage français consacré à Honda, ce volume très illustré propose plusieurs entretiens avec d'anciens collaborateurs du cinéaste.
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