Romano AMERlO, né en 1905 à Lugano mais de nationalité italienne, a soutenu sa thèse de doctorat de Philosophie sur Tommaso Campanella en 1927 à l'Université catholique de Milan. Il est le disciple du Père Gemelli, fondateur de cette université. Il fut fait, distinction rare, citoyen d'honneur de la ville de Lugano où, pendant 42 ans, de 1928 à 1970, il enseigna la philosophie, le grec et le latin au Lycée. Il est connu également pour ses études philosophiques sur Antonio Rosmini et aussi pour une monumentale édition critique des « Osservazioni sulla morale cattolica » de Manzoni. Ces études philosophico-théologiques sont considérées comme irremplaçables pour la bibliographie du plus grand philosophe et poète du XVIIe siècle.
Par ailleurs, il peut se permettre de parler des travaux de la Commission préparatoire centrale du Concile Vatican II avec une compétence particulière, car Monseigneur Jelmini, évêque de Lugano, membre de cette Commission, l'avait étroitement associé à l'étude des schémas et à la rédaction des avis, ce qui lui fit connaître tous les documents.
Iota Unum est aujourd'hui un constat, minutieux, précis, parfois cinglant.
Il a été publié en Italie dans l'une des maisons d'édition la plus renommée : Ricciardi et a obtenu tout de suite un grand succès éditorial.
Iota Unun, étude sur les variations de l'Église catholique au XXe siècle a su attirer l'attention même du monde culturel, tant par la notoriété de l'auteur que par son exceptionnelle valeur.
Ainsi dans le quotidien romain Il Tempo du 31 décembre 85, le critique Gianfranco Morra écrit : « Dans une époque de crise certaine, le plus grand don qu'un vieux fidèle puisse faire à son Église est justement de parler clairement. »
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
