80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis des années, Ryan Bingham ne touche plus terre : son boulot - il se charge d'organiser des licenciements - le conduit d'entreprise en entreprise, de chambre d'hôtel en chambre d'hôtel, d'aéroport en aéroport. Il ne supporte plus son métier, n'a plus de maison, plus d'épouse, plus d'attache familiale, et ne se sent chez lui que dans le cocon d'une cabine pressurisée, face au sourire d'une hôtesse de l'air ou à un plateau-repas mal réchauffé. Son but dans la vie : accumuler un million de miles sur sa carte de fidélité d'une compagnie aérienne. Il y est presque, mais des turbulences pointent à l'horizon... D'une plume décapante qui dénonce avec talent et humour l'inhumanité croissante du monde du travail, Walter Kirn décrit l'implacable descente aux enfers d'un homme qui a la tête dans les nuages.
Rarement un personnage de roman m'aura été si étranger et si antipathique. Cet homme qui accompagne des plans sociaux à travers toute l'Amérique en nourrissant des ambitions professionnelles fumeuses, qui ne vit que dans les aéroports et a pour obsession que de dépasser le million de miles, qui croise des destins pour lesquels il n'a que très peu d'attention m'a déconcerté autant qu'il m'a exaspéré. Il y a des longueurs inouïes, des digressions malvenues. Je me demande comment j'ai réussi à aller au bout...
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