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Les Heures Anglaises ont été publiées par Henry James en 1905. Il a organisé lui-même le volume - Londres, campagne, villes épiscopales, etc. - datant de 1872 à 1901.Sur les seize articles qui composent les Heures anglaises, douze datent des année 1870, époque de découverte pour ainsi dire touristique, avec quelques exaltations (fortement teintées, il est vrai, de distance et d'ironie) devant le pittoresque, et certaines considérations sur les caractéristiques supérieures de la " race " anglo-saxonne. Les deux derniers chapitres se situent sur l'autre bord de l'abîme des années 1880 et 1890, une période londonienne traîtresse pour ses ambitions de gloire (et de revenus) littéraires.Il s'installe dans le Sussex, à Rye, afin de s'isoler, s'enfermer, en tête à tête quotidien exclusif avec son oeuvre. Et ainsi, le texte sûrement le plus synthétique, et le plus symptomatique, est le plus tardif: c'est Winchelsea, Rye, et Denis Duval, sur le roman posthume inachevé de Thackeray, paru en 1864, un an après sa disparition. Le héros éponyme, retiré à Winchelsea, ville voisine de Rye, y récapitule sa vie, ou du moins se lance à la poursuite de la récapitulation de sa vie, sans qu'elle aboutisse, puisque la mort de l'auteur l'a interrompue. James, alors, y trouve le prétexte de se livrer à d'admirables exercices d'introspection littéraire.
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