80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
On ne possède pas un chat, c'est le chat qui nous possède. Décrire ce qui apparaît et disparaît, essayer de saisir l'insaisissable, l'eau, la neige, le feu... ou un chat semble si difficile, voire impossible, que bien souvent on renonce, on donne sa langue au chat. Jacques Poullaouec, pourtant, s'y est essayé en subtilité à travers ses haïkus et gravures. À défaut de le faire parler, il lui a donné sa langue dans ce makimono, ce rouleau manuscrit et peint que les Japonais déroulaient et lisaient horizontalement. Voici donc un inventaire à la Prévert de ses sensations face aux postures, mouvements, silences ou miaulements de cet animal emblématique du haïku : la soudaine mobilité qui succède à l'immobilité la plus totale. Il est entré dans l'oeil du chat, pourra-t-il en sortir ?
Dans ce court recueil de haïkus, Jacques Poullaouec a choisi de donner sa langue – et de consacrer sa plume – au chat.
C'est bref, délicat et empli de douceur.
A picorer ou dévorer, au choix !
-
Le haïku est un poème d'origine japonaise court et concis qui doit pouvoir se lire en une seule respiration.
Il est un instantané qui traduit une émotion, une sensation ou une saison.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année