80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En l'an 1820, dans une sombre petite ville cévenole, un grand-père de 75ans, François de Lapierre, que la Révolution de 1789 a privé de ses prérogatives et revenus, se demande avec anxiété quel sera l'avenir de ses cinq petits-fils, s'ils ne recoivent un solide enseignement et s'ils ne sont formés à un métier. La renommée de Sorèze est arrivée jusqu'à lui. Il a rencontré le directeur propriétaire de l'école, monsieur Ferlus, dont les méthodes correspondent à son désir.
C'est ainsi que, de 1820 à 1830, séjournèrent successivement à Sorèze les cinq garçons. Leurs parents gardaient pieusement leurs lettres, dessins, bulletins et livres de classe.
Héritière de la maison ancestrale, Sabine Tanon de Lapierre a découvert dans de vieilles malles, ces trésors oubliés qui attendaient depuis presque deux siècles. Ils font revivre une époque difficile et peu connue.
Un petit violon était là aussi, sans son archet...De ce petit volume, sélection de leur correspondance assortie de commentaires, jaillit l'émouvante musique de leur enfance.
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