Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Les abus dans l'Église sont dans tous les esprits. Les révélations à ce sujet se multiplient. L'ouvrage de la soeur Bonao Agathe Zahe met en lumière une forme d'abus méconnue ou occultée, au moment où les médias et de nombreux auteurs focalisent l'attention sur des questions de moeurs. Il est ici question de la mauvaise administration des biens dans les communautés religieuses.
L'ouvrage est tiré d'une thèse de doctorat que l'autrice a soutenue à l'université de Strasbourg. Il pose les éléments du débat sur la question cruciale de l'administration des biens religieux.
Dans ses analyses, l'autrice montre que certaines supérieures générales et locales adoptent des comportements peu recommandables et sont régulièrement impliquées dans toutes sortes d'abus. Elle invite les instituts religieux à davantage de rigueur et de transparence, et les incite à former leurs membres à une attitude responsable face à l'argent.
Bonao Agathe Zahe considère, à tort ou à raison, que l'esprit de famille et de solidarité ayant cours dans les sociétés africaines, et la non-acceptation de certaines exigences de la vie religieuse, sont des causes favorisant les déviances et le manque de transparence. Elle invite à une adaptation des mentalités africaines aux normes canoniques.
Au fil de la réflexion, plusieurs principes émergent comme autant de repères pour l'action, pour prévenir les comportements déviants : le principe de coresponsabilité et le principe de subsidiarité.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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