80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"Une politique qui ne donne pas à rêver est condamnée", disait de Gaulle. Depuis des années, les hommes politiques, et notamment les hommes politiques de gauche, invoquent le parler-vrai et le réalisme. Mais le parler-vrai s'est transformé en cynisme et en parler-faux. Et le réalisme a vite débouché sur un constat d'impuissance des politiques face à une société qui n'aurait plus rien à donner, ni argent, ni nouveaux droits. Résultat : le populisme (Tapie - Villiers - Berlusconi), le néo-fascisme (Le Pen en France, Haider en Autriche), le nationalisme et le moralisme occupent le vide laissé par la politique. C'est le danger qui nous guette. La politique ne faisant plus rêver, les démagogues occupent dangereusement le terrain du rêve. Alain Genestar n'appelle pas à un retour de l'utopie mais à un travail d'imagination à droite et à gauche pour "ramener" les citoyens vers la politique, pour provoquer de nouveaux combats, pour susciter de nouveaux espoirs, pour "passionner" un public qui s'endort (abstention) ou se précipite dans les bras des populistes.
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